Trunk Bay, parc national des îles Vierges américaines, Saint John
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Quelque part sous l'arc-en-ciel. Création du parc national des îles Vierges des États-Unis
En 1956, Laurance Rockefeller découvre Saint-John, une île des Caraïbes et décide de la protéger. Aujourd’hui pour célébrer le 68e anniversaire du parc national des îles Vierges américaines, qui couvre environ 60 % de l’île, soit environ 2 287 hectares, y compris ses terres submergées. Rockefeller a généreusement donné plus de 2 023 hectares au gouvernement américain pour assurer sa préservation.
Malgré les dégâts des ouragans Irma et Maria en 2017, le parc a rebondi et a attiré plus de 100 000 visiteurs en 2018. Il abrite plus de 800 espèces, telles que le tamarin et des plantes centenaires, ainsi que 140 espèces d’oiseaux, dont les colombes bridées et le colibri falle-vert et une cinquantaine d’espèces de coraux.
En France, l’archipel des îles de Lérins, au large de Cannes, incarne également une conservation réussie. Il protège non seulement la biodiversité marine mais aussi le patrimoine culturel des monastères et des fortifications historiques. Ces exemples montrent comment la préservation de l’environnement et du patrimoine enrichit l’expérience des visiteurs tout en assurant la pérennité des sites naturels à travers le monde.